L’éclipse de l’esprit, pour un instant absente
Dans la maison hantée où dormaient le passé
Blessée au plus profond, à remonter la pente
Savoir tourner la page et tout recommencer
Prendre, sans maugréer, ses cliques et ses claques
A repousser les murs, peindre son clair-obscur
Des ténèbres fuguer, oublier les maniaques
Regarder la lumière et marcher d’un pas sûr
Dégommer les rumeurs, revenir être solaire
Les harpies et chimères, tout au fond du placard
On a tout récuré le très vieux cimetière
Dans dix ans on se donne à nouveau un rencart !