Aux frontières du réel
L'horloge est toujours aux minuits des détours
S’éveille la journée à l’aube, à l’orée.
Lueurs font leur ajour Levées au point du jour
Couleur rose dorée en ce ciel obombré
Au Zenith du séjour nous souffrons au chaufour,
« L’Inferno » a brillé au soleil mordoré.
Quant au compte à rebours, La terre: hurle « Oh secours ! »
L’été des irradiés provoque l’anxiété
Sommes des infinis, en grands et en petits.
Limites de folies ? En vols de rêveries !
Chaos, Big Bang, pulsar, La vie est un hasard.
Nef va aux frontières centrée tunnel de ver,
Sculptée dans la matière aux confins d’univers,
Oû nets brillants quasars s’impriment clichés d’art.